Ecrire sur sa propre écriture me semble être plus que périlleux voire impossible à la limite du non sens.
Écrire sur les mots de son amoureux est un exercice délicieux mais facilement perçu comme partial , le filtre de l’amour étant nous le savons, magique.
Alors comment ? Alors oui, comment et qui pour dire l’émotion de lecture d’un recueil de poésie aussi intime que celui de Pierre ?
Notre amie Marie s’est imposée comme une évidence.
Elle a accepté ma demande formulée d’écrire une critique de Mirages Chimériques.
Ses mots sont à son image : doux, délicieux, tendres, et plus que touchants, percutants, sensibles et si émouvants.
Tant émue aux larmes à sa lecture, que ses lignes m’accompagnent depuis des heures depuis.
Marie est une écrivaine dont je suis éperdument admirative de la qualité de plume.
Elle est ma plus belle découverte littéraire depuis longtemps.
Précipitez vous lire Marie !
Son roman s’intitule : Elle ne pleure pas, Madeleine !
Contactez la ou moi pour toute commande !
Mirages Chimériques est bien évidemment aussi en vente
Chez le même éditeur : @nombre7éditions
Merci Marie
Je t❤️, tu sais
Corinne
La critique de Marie , merveilleux cri du cœur, de l’esprit et de l’âme, est à lire ici :
"Il n’est pas nécessaire d’avoir un horizon dégagé pour lire les mots de Pierre, ou d’être en plein soleil et de plisser un peu les yeux pour apercevoir ce qu’il a répandu sur la page blanche. Non, il suffit juste d’écouter les battements de son cœur pour entendre ceux de Pierre, pour éclater en rire et chialer en joie quand ses mots secouent le corps et retiennent le souffle. J’ai découvert Baudelaire à mes heures adolescentes et depuis sa poésie accompagne mes insomnies à la lueur d’un clair obscur. Dommage qu’il fût mort que je ne puisse le rencontrer. Il aura fallu que j’atteigne l’âge de 50 ans pour pouvoir parler, observer, écouter, rencontrer un homme qui me bouleverse autant que Charles Baudelaire, dans ses mots, entre ses vers, dans sa chair pour sa chère. Le recueil de poésie de Pierre emporte les yeux au fil des pages comme le battement d’ailes de l’oiseau en pleine mer. Le voyage est extraordinaire !"
